Informations générales

Durée - 75 minutes.
Directeur - Lucinda Childs et Robert Wilson 

Mon commentaire

Relative Calm, le spectacle de danse, m'a déçu. Il était trop lent, pas très intéressant, répétitif et manquait de moments forts. J'aurais aimé ressentir quelque chose de plus, mais ça n'a pas été le cas. Dans l'ensemble, je ne le recommande pas.

Synopsis

Des retrouvailles au sommet pour deux légendes : le metteur en scène Robert Wilson et la chorégraphe Lucinda Childs réinventent Relative Calm. Une œuvre fascinante, qui gagne en ampleur et en exubérance, plus de quarante ans après sa création.

En 1976, l'opéra Einstein on the Beach donne le coup d'envoi à l'une des collaborations les plus fructueuses du XXe siècle. Lucinda Childs est récitante et danseuse tandis que Robert Wilson tire les ficelles d'une production hypnotique. Cinq ans plus tard, les deux icônes de la nouvelle scène américaine créent ensemble Relative Calm, un ballet conçu sur une musique de Jon Gibson. Ce n'est pas tant une reprise qu'une réactivation de la mémoire de cette pièce que les deux flamboyants octogénaires proposent aujourd'hui. La répétition et la variation en sont toujours le moteur, mais les lumières, les décors et la structure sont nouveaux. Un ballet en trois actes, dansé sur les rythmes de Jon Gibson, Igor Stravinsky et John Adams, par les interprètes de la compagnie MP3 Dance Project. Entre chaque acte, Lucinda Childs lit elle-même des extraits du journal de Nijinski. Jeux de (dé)synchronisation, motifs répétitifs, mouvements linéaires et création vidéo portent la signature des deux légendes.